Assurer un avenir serein
aux futures reproductrices
GAEC BARRES, éleveur d'Aubrac sur la zone de LOZERE INSEMINATION (IVV = 374 jours ; Productivité G= 112%)
Reportage : Les éleveurs allaitants partagent leurs expériences (édition DECEMBRE 2022)

Accéder à plus de 2350 taureaux au sein des races laitières, viandes et rustiques, c'est possible ! La coopérative peut fournir des doses conventionnelles et des doses sexées.

Deux producteurs partagent leurs expériences de l'insémination animale notamment sur l'aspect renouvellement et qualité des produits.

Jean-Baptiste Barres (Associé du GAEC BARRES) témoigne :
«L’IA est un outil pour assurer la qualité de mon renouvellement. Je veux favoriser la production laitière car le lait, est un aliment essentiel et bon marché pour valoriser des potentiels de croissance importants. Pour assurer quantitativement mon renouvellement, j’utilise la semence sexée femelle et cela fonctionne. Je veux mettre toutes les chances de mon côté pour assurer une réussite au premier vêlage. Moins j’interviens, plus je gagne du temps sur la prochaine gestation. Et aujourd’hui, 1 veau par vache et par an, c’est mon ambition».

Il précise aussi utiliser d'autres services complémentaires à l’IA : fouiller avant la mise à l’herbe ou faire de la synchronisation sur des vaches tardives.

GAEC MEYRAND, éleveur d'Aubrac et Charolais sur la zone de LOZERE INSEMINATION (IVV = 379 jours ; Productivité G= 101%)

Installé en 2019, Loïc Meyrand a pris en charge le troupeau allaitant:
« Le troupeau est conduit en stabulation libre et stabulation entravée. J’utilise l’IA et mes taureaux. Les génisses de renouvellement Aubrac sont inséminées en pur avec des taureaux améliorateurs de la race, bonne qualité maternelle et surtout facilité de vêlage. Nous faisons aussi du croisement en restant vigilant à la facilité de naissance car on ne souhaite pas des vêlages compliqués où il faut passer 3h par vache.

Sur le troupeau, le taux de mortalité des veaux est à 0 % à la naissance avec plus de 80 % des vêlages sans aide».

L'éleveur précise aussi : «Ce n’est pas parce que mes veaux naissent plus petits qu’ils ne sont pas performants par la suite. Pour mes femelles croisées, je suis dans les poids de naissance les plus bas du groupe, 35 kg contre 40 kg de moyenne. A 210 jours, elles pèsent environ 255 kg contre 242 kg pour la moyenne du groupe. Pour les mâles purs Aubrac, la tendance est similaire».



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